Il est informatif et fidèle au contenu du texte.
Il reproduit la structure du texte, sa cohérence, sa rigueur.
Il représente 20 % ou moins de la longueur du texte.
On l’écrit dans ses propres mots.
Marche à suivre
1. Survoler le texte:
identifier l’auteur: quel est son titre, son statut ? À quelle institution est-il affilié ?
repérer le titre et les sous-titres;
survoler l’introduction et la conclusion;
répondre aux questions suivantes: Quel est le sujet de ce texte ? Que veut démontrer l’auteur ? Quelle est l’idée principale de ce texte ?
2. Faire une lecture active du texte:
identifier l’idée centrale (la thèse);
identifier l’idée principale de chacune des parties du texte et, au besoin, les idées secondaires;
surligner et inscrire ces idées dans la marge (attention: tout surligner ne sert à rien);
chercher le sens des mots inconnus à l’aide d’un dictionnaire;
répondre aux questions suivantes: Ai-je bien saisi l’idée centrale ? Ai-je bien saisi l’idée principale de chacune des parties ? Ai-je bien saisi les idées secondaires ? Est-ce que je comprends l’enchaînement des idées ?
3. Prendre des notes:
Transcrire, en respectant la structure du texte, l’idée centrale du texte, l’idée principale et les idées secondaires de chacune des parties du texte.
4. Faire le plan du résumé:
Présenter schématiquement, à l’aide de sous-titres, les différentes parties du résumé.
Pour chaque partie, présenter l’idée principale et les idées secondaires retenues.
Présenter les éléments à mettre dans l’introduction et la conclusion.
5. Rédiger un texte suivi en respectant la structure du texte d’origine et en prenant soin de bien relier les idées entre elles. Ne pas oublier d’inscrire la référence bibliographique complète, selon les normes.
6. Relire le résumé, couper les mots inutiles, les répétitions.