أريد منكم المساعدة في حل هدا الموضوع الآن و شكرا
expliquez la notion de lutte biologique par
expliquez la notion de lutte biologique par
1-une comparaison
2-une métaphore
3-une illustration par des exemples
انا فهمتها بالعربية يعني اشرحي هذه العبارات
المقارنة
الاستعارة
و الشرح بالامثلة
المقارنة
الاستعارة
و الشرح بالامثلة
هذه موجودة في درس الفرنسية
la lutte biologique معناه المكافحة البيولوجية في النص تتم هذه الاستراتيجية بواسطة الدعسوقةla coccinelle التي تضع بيضها qui bonde sur les fuilles فوق الاوراق العلية وبعد ان تفقس البيض تعطي يرقات la larve qui mange le becerons التي تاكل العناكب المخربة les ravageurs
la lutte biologique معناه المكافحة البيولوجية في النص تتم هذه الاستراتيجية بواسطة الدعسوقةla coccinelle التي تضع بيضها qui bonde sur les fuilles فوق الاوراق العلية وبعد ان تفقس البيض تعطي يرقات la larve qui mange le becerons التي تاكل العناكب المخربة les ravageurs
شكرا لكم على المشاركة لكن ليس هدا ما ابحث عنه و جزاكم الله خيرا
لالا يا بنات ماراكمش فاهمينها وش تقصد
الطفلة مش حابة تعرف وش معنى هاذيك المصطلحات اللي بالفرنسية بالعربية
هي حابة مساعدة في البحث على هذاك اللموضوع
عموما اختي رح نحاول نساعد
الطفلة مش حابة تعرف وش معنى هاذيك المصطلحات اللي بالفرنسية بالعربية
هي حابة مساعدة في البحث على هذاك اللموضوع
عموما اختي رح نحاول نساعد
La Lutte biologique C’est un moyen élégant de réduire les effectifs d’un organisme – animal ou plante – gênant, en le faisant dévorer par un de ses ennemis naturels. Les insectes sont très présents dans la lutte biologique (LB). D’abord comme cible : contre ravageurs des cultures et vecteurs de maladies, on a recours aux services de bactéries, de champignons, de virus, de nématodes, de poissons même? et surtout d’autres insectes, prédateurs ou parasites. En second lieu donc comme agents de LB (ou " auxiliaires ") pour détruire les insectes ravageurs ou gênants évoqués ci-dessus – mais aussi des plantes indésirables, envahissant champs ou canaux. De très nombreuses espèces sont mises à contribution, que les individus soient simplement prélevés dans un lieu puis relâchés là où sévit l’indésirable (à charge pour eux de s’établir et de se multiplier – on parle d’acclimatation) ou qu’il faille les multiplier en insectarium à chaque saison (on pratique des " traitements biologiques "). Par exemple, la Coccinelle Rodolia cardinalis fut prélevée en Australie, où est son habitat naturel, et installée en Californie où les agrumes dépérissaient sous l’action de la Cochenille Icerya purchasi (elle-même soupçonnée de provenir d’Australie). Opération victorieuse – les coccinelles, génération après génération, ont croqué les cochenilles – qui se passait en 1868. À l’époque, l’ingéniosité devait bien pallier l’absence d’insecticides chimiques, dont on a abusé depuis. Un exemple plus récent : pour lutter contre la Pyrale du maïs – une chenille que l’agriculteur redoute -, on envoie des vagues successives de millions de micro-Hyménoptères, des Trichogrammes (qu’on a élevés sur des oeufs d’un autre papillon), pondre dans les oeufs de la Pyrale, leur larve tuant le ravageur. Une méthode efficace, si elle est bien appliquée, et respectueuse de l’environnement. En dépit des travaux effectués et en cours, il n’y a pas – et de loin – d’arme disponible contre chaque insecte impliqué comme ravageur ou vecteur de maladie, et il demeure rare que la lutte biologique élimine les plantes indésirables. Et les éventuels effets indésirables de la LB (sur la faune locale) sont examinés avec grand soin
Les mots de la lutte biologique
La définition officielle (de l’OILB-SROP) stipule que la lutte biologique est « l’utilisation d’organismes vivants pour prévenir ou réduire les dégâts causés par des ravageurs».
Le principe est simple :
La lutte biologique est basée sur l’exploitation par l’Homme et à son profit d’une relation naturelle entre deux êtres vivants :
– la cible (de la lutte) est un organisme indésirable, ravageur d’une plante cultivée, mauvaise herbe, parasite du bétail… ;
– l’agent de lutte (ou auxiliaire) est un organisme différent, le plus souvent un parasite (ou parasitoïde), un prédateur ou un agent pathogène du premier, qui le tue à plus ou moins brève échéance en s’en nourrissant ou tout au moins limite son développement. Ce peut être un concurrent (lutte autocide, ci-dessous).
Les modalités sont variées et différents classements sont en usage. Celui-ci, qui concerne la lutte contre les insectes, est classique
La définition officielle (de l’OILB-SROP) stipule que la lutte biologique est « l’utilisation d’organismes vivants pour prévenir ou réduire les dégâts causés par des ravageurs».
Le principe est simple :
La lutte biologique est basée sur l’exploitation par l’Homme et à son profit d’une relation naturelle entre deux êtres vivants :
– la cible (de la lutte) est un organisme indésirable, ravageur d’une plante cultivée, mauvaise herbe, parasite du bétail… ;
– l’agent de lutte (ou auxiliaire) est un organisme différent, le plus souvent un parasite (ou parasitoïde), un prédateur ou un agent pathogène du premier, qui le tue à plus ou moins brève échéance en s’en nourrissant ou tout au moins limite son développement. Ce peut être un concurrent (lutte autocide, ci-dessous).
Les modalités sont variées et différents classements sont en usage. Celui-ci, qui concerne la lutte contre les insectes, est classique
اختي نكملك و حاولي تاخدي الاهم
لانها كلها مهمة ماعرفتش وش نقص
لانها كلها مهمة ماعرفتش وش نقص
ارجو انو يساعدك شوي في بحثك
ربي يوفقك
ربي يوفقك
شكرا ‘أشواق