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ساعدوني في بحث الفرنسية 2024.

السلام عليكم يا أحلى ناس اللمة

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Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération cellulaire anormale et anomique au sein d’un tissu normal de l’organisme. Ces cellules dérivent toutes d’un même clone, cellule initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de se diviser indéfiniment. Au cours de l’évolution de la maladie, certaines cellules peuvent migrer de leur lieu de production et former des métastases. Pour ces deux raisons, le dépistage du cancer doit être le plus précoce possible.
« Cancer » est un terme général désignant toute maladie pour lesquelles certaines cellules du corps humain se divisent d’une manière incontrôlée. Les nouvelles cellules résultantes peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à travers le corps.
Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation,[1]), induction par un agent infectieux… et/ou externes (alimentation, irradiation..)
Plusieurs types de cancers semblent en augmentation, pour des raisons environnementales ou de modes de vie, ainsi que – pour une partie des cas seulement – en raison du vieillissement de la population. Les taux de cancers détectés augmentent dans chaque tranche d’âge, une meilleure détection qu’autrefois ayant aussi un rôle dans cette augmentation.
Chronologie de la transformation cancéreuse
La formation d’un cancer au sens strict comporte 2 étapes distinctes et nécessairement successives :
  • Cancérogenèse
  • Tumorogenèse

Carcinogenèse Il s’agit de l’action de substances appelées carcinogènes. Elles entraînent des anomalies génétiques touchant l’architecture ou la séquence de l’ADN. A ce stade, le cancer en formation n’est cliniquement pas observable et n’a pas de conséquence fonctionnelle.
Cancérogenèse Ce stade de la transformation cancéreuse nécessite deux étapes : l’INITIATION et la PROMOTION. Ces deux étapes sont obligatoirement successives et l’initiation précède toujours la promotion, sans quoi le processus cancéreux s’arrête. L’initiation correspond à l’accumulation des anomalies génétiques, la promotion à la réception par la cellule de facteurs de prolifération qui vont entraîner les divisions. Ces signaux vont donc pérenniser les anomalies au cours des divisions, et ainsi assurer la descendance de la cellule anormale, qui va de surcroît accumuler de nouvelles anomalies génétiques. (voir Transformation cellulaire).
La transformation cellulaire comporte deux éléments majeurs, l’immortalisation (les cellules deviennent incapables d’initier leur propre mort (apoptose) ou deviennent indépendantes aux signaux extérieurs qui la déclenchent) et la perte d’homéostasie (caractérisée normalement par une balance divisions/mort qui assure le maintien de la taille et de la fonctionnalité d’un organe, les cellules cancéreuses perdent la sensibilité aux signaux qui régulent la prolifération).
L’INITIATION est la conséquence de la carcinogenèse. L’action des carcinogènes mute des gènes importants dans le maintien de l’intégrité et des caractéristiques de chaque type cellulaire. Il en résulte des pertes ou gains de fonctions cellulaires : activation ou dérépression d’un oncogène, inhibition ou répression d’un gène suppresseur de tumeur. Les oncogènes sont souvent des activateurs de la multiplication ou des inhibiteurs de l’apoptose (BCL, BCLX1…) tandis que les gènes suppresseurs sont inducteurs de l’apoptose ou bloquent le cycle cellulaire (P53, BAC…).
La PROMOTION est caractérisée par une grande instabilité génomique et une augmentation de la perte d’homéostasie. L’instabilité génomique est due à des mutations de deux types de gènes :

  • Gate keeper genes : ils assurent le contrôle du passage à une étape ultérieure du cycle cellulaire, ce sont des "points de contôle" du cycle cellulaire. Une perte de fonction de ces gènes permet à la cellule cancéreuse de passer rapidement à la phase ultérieure du cycle cellulaire, donc in fine de proliférer de façon incontrôlée.
  • Care taker genes : ils assurent physiologiquement la réparation des anomalies liées à l’ADN. Leur inactivation entraîne une instabilité accrue et une accumulation d’anomalies génétiques (mutation, perte d’hétérozygotie, modifications épigénétiques : hypo/hyperméthylation, désacétylation…).

A ce stade, le cancer est à un stade infraclinique: c’est une masse de cellules qui survit dans l’organisme. L’environnement des cellules cancéreuses (ou stroma, microenvironnement) est dit non coopératif : il ne fournit pas aux cellules cancéreuses les nutriments et le soutien que leur développement réclame. Cette phase est critique dans le développement clinique du cancer : si le stroma reste non-permissif, le cancer n’évolue pas, ou alors très lentement. Si en revanche il s’établit une réciprocité de maintien entre cancer et stroma (le cancer envoie des signaux permissifs au stroma, qui se modifie en faveur du cancer et va lui apporter nutriments et soutien, le cancer grossit, produit de plus en plus de signaux permissifs, etc.), l’évolution du cancer reprend et passe à un stade clinique. Le stroma devient permissif lorsqu’il est le siège d’une néoangiogenèse (sécrétion par la tumeur de facteurs de croissance angiogéniques (VEGF), apparition des récepteurs à ces facteurs sur le stroma (VEGF-R)) et de l’apparition de récepteurs tumoraux aux facteurs de croissances cellulaires (boucle autocrine) ou microenvironnementaux (boucle paracrine).
Tumorogenèse Il s’agit du développement du cancer donnant des conséquences cliniques : il grossit dans des limites histologiques précises (on parle de cancer in situ), puis les dépasse et devient donc invasif avec production très probable de métastases. La néoangiogenèse et la mise en place d’une circulation sanguine stable et relativement efficace est préalable indispensable à cette phase : la croissance tumorale est telle qu’elle ne peut plus se contenter d’une diffusion à partir d’un stroma non permissif mais nécessite des apports importants et dédiés. La tumeur grossit jusqu’à atteindre la lame basale : le cancer est dit in situ et son risque de métastase est faible. La croissance tumorale continue et la membrane basale se rompt, le cancer devient invasif : les cellules cancéreuses ont alors de grandes facilités à atteindre les courants métastatiques (circulations lymphatique pour les carcinomes et veineuse pour les sarcomes) et la dissémination dans le corps débute.

Origine des cancers
Environs 15 % des cancers humains peuvent être associés à des agents infectieux. Cela peut être des virus (HBV et cancer du foie, HPV et cancer du col de l’utérus, EBV et lymphome de Burkitt), plus rarement des bactéries (Helicobacter et cancer gastrique) ou encore plus rarement des parasites (Schistosomes et cancer du foie). Dans tous ces cas, outre l’infection, on trouve également des altérations d’oncogènes ou de gènes suppresseurs dans les tumeurs. L’agent infectieux n’intervient qu‘à une étape du processus de transformation cellulaire.
L’origine des altérations qui modifient les oncogènes et les gènes suppresseurs est multiple. On les classe généralement en deux grandes catégories, exogène et endogène.
  1. L’origine exogène correspond à toutes les expositions environnementales auxquelles un organisme est soumis. Cela va du tabac aux ultraviolets du soleil en passant par l’amiante, les radiations gamma, l’alcool et de nombreuses autres substances auquel un individu est exposé volontairement ou involontairement. Elles peuvent agir directement au niveau de notre ADN et provoquer des altérations comme certaines molécules dans le tabac ou les ultraviolettes ou provoquer des états inflammatoires favorisant l’apparition de cellules cancéreuse (alcool).
  2. Les altérations d’origine endogène sont provoquées en partie par des molécules issues de notre métabolisme comme les espèces réactives à l’oxygène. Chaque jour notre ADN subit des millions d’agressions de la part de ces molécules mais dans la très grande majorité des cas, celles-ci sont réparées de manière très efficace. Néanmoins, il suffit d’une défaillance dans la réparation d’un gène important pour enclencher ou continuer un processus de transformation cellulaire. Des travaux récents (2017) suggèrent que les systèmes de réparation de l’ADN ont une efficacité qui diminue avec l’âge.
En 2024 R. Weinberg et D. Hanahan ont suggéré que la transformation cellulaire passe par l’acquisition d’au moins six propriétés :
  1. Indépendance vis-à-vis des signaux stimulant la prolifération. Les cellules normales ne se divisent que lorsqu’elles reçoivent un stimulus particulier. Les cellules tumorales n’ont plus besoin de ce signal.
  2. Insensibilité aux signaux inhibiteurs
  3. Abolition de l’apoptose ou mort cellulaire programmée. En cas de stress ou d’anomalie ne pouvant pas être éliminée, une cellule normale se suicide en utilisant l’apoptose. Les cellules tumorales ont inactivé tous ces mécanismes pour mieux survivre.
  4. Capacité proliférative illimitée : le nombre usuel de divisions cellulaires pour une cellule humaine est de 50 à 60 (sénescence cellulaire, limite de Hayflick), après quoi elle cesse de pouvoir se diviser (voir article Télomère). Les cellules tumorales continuent de se diviser sans limite visible grâce à l’activité de la télomérase qui est fortement active dans toutes les cellules cancéreuses.
  5. Capacité de susciter l’angiogenèse. Les cellules tumorales (et la tumeur) ont un besoin important en oxygène pour survivre. Elles vont donc stimuler la formation de nouveaux vaisseaux sanguins afin d’oxygéner la tumeur.
  6. Acquisition d’un pouvoir invasif. Les cellules tumorales sont capables de passer à l’intérieur d’un vaisseau sanguin afin d’être transportées dans un autre organe où elles vont générer une seconde tumeur (métastase
Causes

Facteurs de risque

Il existe de nombreux facteurs prédisposant au cancer : ils sont appelés cancérigènes, carcinogènes ou cancérogènes. L’étude de ces facteurs s’appelle la cancérogenèse.

Les facteurs de risque du cancer peuvent être endogènes (provenant de l’organisme) ou exogènes (extérieurs à l’organisme).

Risques endogènes ]

Le risque génétique (ou risque endogène).
Dans certains cas, l’apparition d’un cancer a une composante héréditaire. C’est le cas de certains cancers du sein[réf. nécessaire].

Risques exogènes

Les risques exogènes sont aussi appelés facteurs « environnementaux » (environmental factors), d’après l’expression anglo-saxonne. Mais il ne s’agit pas que de questions d’environnement, au sens français du terme, puisque cette catégorie recouvre aussi, par exemple, les bactéries et virus.

On distingue notamment :
La pollution
Le rôle exact de la pollution dans l’apparition des cancers reste difficile à évaluer. Les cancérologues accusent la pollution notamment chimique (pesticides, etc.) d’être responsable d’une grande majorité de cancer. Relèvent également de la pollution les cancers provoqué par le contact, en milieu professionnel, avec des produits cancérogènes, notamment : amiante, benzène, arsenic, formaldéhyde, gaz moutarde, iode 131, radon, etc. et des produits de « mélanges » telles les poussières de bois, le goudron de houille et la suie[2]). L’OMS estime à 10% la proportion de cancers liés au travail ce qui correspond à plus de 200 000 décès annuels (rôle de l’amiante par exemple dans le mésothéliome)[3].
Le tabac
Le tabac est un facteur de risques majeur pour différents cancers (voies respiratoires, ORL, vessie)[réf. nécessaire].
L’alimentation
L’alimentation joue un rôle dans la survenue de cancers. L’obésité favorise de nombreux cancers. La consommation régulière de fruits et légumes diminue le risque de nombreux cancers[réf. nécessaire].
L’alcool
L’alcool favorise les cancers de la gorge, de l’œsophage et du foie[réf. nécessaire].
Les radiations
Les radiations, dont celles du soleil, sont cancérogènes. Il est donc important d’utiliser correctement les crèmes solaires lors d’une exposition prolongée au soleil car cela augmente considérablement le risque de cancers de la peau à cause des ultraviolets[réf. nécessaire].
Virus, bactéries
Virus et bactéries font partie des facteurs exogènes du cancer. Certains cancers peuvent être provoqués par des virus, tels le cancer du col de l’utérus provoqué par le HPV[réf. nécessaire].
Selon le rapport 2024 de l’Académie nationale française de médecine, le tabac reste la principale cause de cancer. Viennent ensuite l’alcool, le surpoids et l’insuffisance d’exercice physique, puis les expositions professionnelles et les traitements hormonaux de la ménopause de la femme. Seuls 1% des décès sont liés à la pollution. La moitié des origines du cancer demeurent inexpliquées.[4]

De quoi meurt-on quand on « meurt d’un cancer » ?
C’est là une question fréquemment posée aux médecins par les patients ou leur famille, qui ont peine à croire qu’une petite tumeur (du moins en apparence) menace tout un organisme.
La réponse est invariable : la vie dépend de la bonne marche d’un certain nombre de fonctions, dont la respiration (au sens large, en incluant la distribution d’oxygène par la circulation sanguine), la digestion et l’excrétion (reins, foie). Selon celui des trois systèmes qui est altéré par les cellules cancéreuses, par exemple, le patient meurt — si l’on n’arrive pas à juguler la progression du mal — :
  • de dénutrition ;
  • d’empoisonnement, par accumulation de substances toxiques normalement filtrées et excrétées par les reins et le foie
أتمنى أن يفيدك ما نقلت لك
تقبلي مروري
*نسومة*

عجز لساني عن الكلام والله
يعطيك ألف عافية أختي نسومة
يعيشك أختي وربي يخليك لينا
اسمحيلي تعبتك معايا
العفو يااا غاليــــــــــة
احنا اعضااااااااء اللمة اخووة
لازم نساعدوووو بعضانا

انا اسف انا عضو جديد ولم انتبه لطلبك ارجو ان تسامحيني ساساعدك القادمة ان شاء الله nour

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